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CLIMAT MUNDI
Le climat mondial est entre nos mains, c’est sur cette
intuition que Climat Mundi a été créée il y a déjà 10 ans.
Ambitieux ? Oui, car il est nécessaire de l’être si
l’on veut tenter de changer le cours de choses et laisser la planète habitable
pour les générations futures !
Climat Mundi accompagne cette transition énergétique en
intervenant sur trois champs complémentaires :
- L’accompagnement des acteurs économiques pour
établir leur Bilan réglementaire ou leur bilan carbone mais surtout pour les
aider à prendre de la hauteur avec une approche stratégique en lien avec l’article
173.
- La construction durable avec, en amont des
projets d’aménagement, des études de potentiel en énergies renouvelables et en
aval le suivi et l’accompagnement des architectes et bureau d’études pour
concevoir et construire des « Bâtiments Bas Carbone ».
- L’accompagnement des collectivités locales dans
leur processus d’intégration des enjeux énergie et climat dans leur
fonctionnement, l’exercice de leurs compétences, la mise en œuvre des
politiques publiques et l’animation des acteurs du territoire.
Avec Climat Mundi, ce sont 10 années de retour d’expérience
et plus de 250 références avec plusieurs dizaines d’entreprises d’envergure
nationale ou internationale ; c’est
aussi l’assurance de prestations de qualité, ajustée et sur-mesure ; c’est
avant tout et surtout la conviction chevillée au corps que les marges de
progrès sont énormes, dans tous les secteurs, pour réussir les transitions
énergétique et écologique.
RETOUR SUR CES 10 ANNEES
Il y a des 10 ans, la compensation carbone fonctionnait
outre atlantique alors pourquoi pas en France ? L’idée s’est révélée peu
prometteuse et le marché trop réduit pour plusieurs acteurs.
Le Bilan Carbone dans sa version volontaire a permis de
réaliser de belles missions d’accompagnement dont certaines durent toujours
avec l’inscription des entreprises sur des trajectoires vertueuses proches de
celles du facteur 4.
Après un Grenelle de l’environnement enthousiasmant en 2007,
les deux lois successives en 2009 et 2010 et les décrets d’application se sont
avérés décevants pour étendre la dynamique de réduction des émissions de GES au
plus grand nombre d’acteurs économiques et institutionnels ! Le Bilan
Réglementaire, réduit à une peau de chagrin n’est même pas réalisé par la
moitié des structures obligées. Son piètre intérêt ne lui confère aucune
légitimité et le cantonne au rang d’exercice obligatoire et contraignant.
Depuis 2015, la Loi de Transition Energétique, avec son
article 173 semble vouloir placer la barre sur un plan plus stratégique en
demandant aux acteurs économiques une approche à la fois stratégique et
opérationnelle. Cet
article requiert en effet une réflexion de fond sur les effets que peuvent
avoir sur le climat, non seulement le fonctionnement d’une entreprise mais aussi
ses approvisionnements, la fabrication et l’usage de ses produits.
Dans le même temps, de nombreuses collectivités ont pris à
bras le corps les enjeux énergétiques et climatiques. Certaines du point de vue
de leur fonctionnement interne et de leurs compétences, d’autres en explorant
leur rôle d’animatrices, de fédératrices des énergies du territoire.
AMBITION POUR LES PROCHAINES ANNEES
Le principal enjeu des prochaines années est de raisonner à
une échelle territoriale en faisant travailler ensemble collectivités et
acteurs du territoire (entreprises, institutions publiques, acteurs associatifs
et citoyens). L’article 188 de la Loi de Transition Energétique impulse une
intéressante dynamique dans ce sens.
La confrontation entre les cultures des différents acteurs
doit devenir un moteur de l’action : aux citoyens l’expression des besoins
et attentes ; aux entreprises les réponses en termes de solutions
techniques, de rentabilité économique et d’emplois ; aux collectivités
locales d’être garantes de l’intérêt général et de soutenir les initiatives les
plus innovantes et pertinentes.
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Jean-luc MANCEAU
Depuis décembre 2014, Jean-Luc
Manceau dirige Climat Mundi.
Jean
Luc Manceau accompagne les entreprises et les collectivités dans leurs
démarches de stratégie carbone et de plan climat énergie territorial. Il
a travaillé notamment pour les villes de Paris, Marseille, Amiens, Annecy, le
département de la Vienne, la Région Lorraine, la Région Rhône-Alpes.
Dans
le domaine de l’énergie et des énergies renouvelables, il a réalisé une
mission visant à établir, pour le compte de la Principauté de Monaco,
une stratégie énergétique innovante intégrant des actions de maîtrise de
la demande de l’énergie (MDE) et de déploiement des énergies
renouvelables. Il est intervenu aussi auprès de plusieurs collectivités
locales pour les assister dans la mise en œuvre de politiques de
l’énergie innovantes : Conseil
général du Val de Marne (organisation d’un secteur énergie), Conseil
général de l’Essonne (panorama et politique énergétiques du
département), Sainte-Maxime (contrat d’entretien des équipements de
génie climatique).
Il
dispose d’une pluri-compétence dans les domaines de l’ingénierie des
services publics locaux. Il a en effet travaillé pendant 10 ans dans le
domaine des télécommunications où il à conçu, mis en place et piloté des
opérations de grande envergure.
Jean-Luc
Manceau est ingénieur, diplômé de l’Ecole supérieure d’électronique de
l’Ouest (ESEO) et titulaire d’un master de l’Ecole nationale supérieure
des arts et métiers (ENSAM) « Les énergies renouvelables et leurs
systèmes de production».
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